Korn

Jonathan Davis à dit : "Me sentir désiré est quelque chose dont j'ai toujours eu besoin. J'ai tellement été rejeté quand j'étais adolescent... Etre sur scène était le seul moment où mon anxiété partait pendant une heure"
"En fait, le sexe était ma seule drogue, parce que je ne bois plus, je ne peux plus boire. J'ai été sobre pendant une année. Je n'ai pas d'autres vices. Alors faire ça pouvait être quelque chose..."

"j'ai fait ce que voulait mon père et tout ce que j'ai obtenu, ce sont ces corps morts et ces traumatismes (il travaillais dans une morgue). Papa, maman, merci beaucoup..."

"C'est une histoire à propos de cette petite fille qui est venue à la morgue quand je travaillais là bas, elle avait été violée par son père. C'était une fillette de 11 mois. Ses jambes étaient brisées et il a juste pris sa vie, elle était comme une poupée désarticulée, et il l'a balancée dans la salle de bain. C'est la chose la plus atroce que j'ai jamais vu de ma vie et j'en fais toujours des cauchemars."

"Nous étions en train de jouer à San Diego et un skinhead arriva et nous dit : Allez vous faire foutre ! Retournez à Bakersfield !. Je n'avais pas compris ça et je perdis la tête alors qu'il tenta de se suspendre à moi. Notre "road manager" Jeff le dégagea. D'où le nom de cette chanson : "Clown"..."

"Les gens pensent que Daddy a été écrite parce que mon père m'a violé, mais ce n'est pas de ça que parle la chanson. Ca n'était pas à propos de mon père ou de ma mère. Quand j'étais môme , j'ai été abusé par quelqu'un d'autre et je suis allé voir mes parents et je leur en ai parlé. Il croyaient que je mentais et que je plaisantais, alors ils ne se sont jamais préoccupés de ça. Ils ne croyaient pas que ça pouvait arriver à leur fils. Je n'aime pas en parler, d'ailleurs je n'en ai jamais autant parlé".